“Mon Tour du Monde en courant 6 marathons par semaine” - Le Récit de Marie
Un Tour du Monde, 28 300KM, 698 marathons… C’est chiffres paraissent démentiels, presque inventés. C’est pourtant l’histoire de Marie, qui s’est lancée dans l’aventure d’une vie : parcourir le monde en courant. Écoutez son récit.
Marie et le monde : le nomadisme dans le sang
Marie est une femme “ordinaire”. Elle n’est pas de ces grandes sportives qui ont commencé le sport très tôt. Elle n’en pratique pour ainsi dire que peu. Elle travaille, évolue à de bons postes et cherche surtout à voyager.
Elle s’installe dans différents pays du globe dans le cadre de son travail. Mais elle le sait : elle n’est pas spécialement carriériste. Elle, ce qu’elle veut, c’est pouvoir gagner assez d’argent pour voyager.
Un tour du monde en courant
Presque par hasard, Marie découvre la course à pied. Piquée au vif devant son incapacité à enchainer quelques kilomètres, elle va persévérer.
C’est ainsi, tout simplement qu’au fil des entrainements va naitre sa volonté d’entreprendre un projet tout simplement fou : faire le tour du monde… En courant.
L’idée est lancée, le projet nait. Beaucoup de ses proches le reçoivent presque comme une. évidence. Bien sûr qu’ils sont un peu inquiets, mais ils connaissent Marie et savent qu’elle sera prête à réaliser ce défi.
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Le jour J arrive, elle s’élance. L’Europe d’abord. Seulement voilà, ce qui avait bien commencé va vite prendre une tournure inattendue. Nous sommes en 2020, Marie court en Italie et l’impensable arrive : une pandémie.
Loin de renoncer à son projet, elle rentre en France prête à repartir dès l’ouverture des frontières. Mais comment s’entrainer durant le confinement ? Marie est pleine de ressources…
Des marathons et des cultures
Alors qu’elle est enfin repartie, Marie ne s’arrête plus. Elle court, elle court encore. Elle avale les kilomètres, traverse les pays, elle est partie pour réaliser un exploit avec sa poussette d’une trentaine de kilos.
Mais avant de connaitre l’issue de cette épopée, il faut avant tout comprendre ce que Marie attendait de ce voyage et ce qu’elle en a tiré. On parle de rencontres, de prise de conscience, de quelques frayeurs certes, mais surtout de la découverte d’autres façons de vivre et de voir le monde.