Dans la Tête d'un Coureur - Extrait du Podcast
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Courir en pleine nature, c’est souvent un luxe que les coureurs s’accordent pour déconnecter, respirer, se recentrer. Pourtant, chaque foulée sur un sentier de montagne, chaque sortie au lever du jour dans un bois périurbain n’est pas sans conséquences pour les écosystèmes qui nous entourent.
La biodiversité, c’est ce tissu vivant — faune, flore, milieux naturels — que l’on côtoie en short et baskets, parfois sans même y prêter attention. Et si on apprenait à le respecter davantage ?
Pendant des années, le marché de la distribution running a vécu dans un certain confort. Chacun à sa place, chacun son rôle. Mais depuis quelque temps, les lignes bougent. Des pure players digitaux investissent le terrain physique. Les marques réduisent leur stock chez les revendeurs et vendent de plus en plus en direct. Les distributeurs généralistes tentent une mue vers l’expertise avec des fortes ambitions. Et à l’horizon, l’intelligence artificielle, capable de recommander et de capter l’attention mieux que n’importe quel vendeur.
On parle de plus en plus d’empreinte carbone, dans les médias, sur les réseaux sociaux… et maintenant même entre deux séances de fractionné. Mais derrière ce concept un peu abstrait, une vraie question se pose : quel est l’impact réel de nos choix quotidiens sur le climat ?
Courir est sans doute l’un des sports les plus simples qui soient : une paire de chaussures, un sentier ou une rue, et c’est parti. Mais cette apparente légèreté masque-t-elle un impact plus lourd qu’il n’y paraît sur notre environnement ? Alors que la saison des courses bat son plein, Cléo et Emilie, journalistes, pour DLTDC Investigation se sont penchées sur une question aussi actuelle que complexe : le running est-il compatible avec l’écologie ?
Respirer à pleins poumons dans les “poumons verts” de Paris ? L’image est belle… mais parfois trompeuse. Le Bois de Boulogne et le Bois de Vincennes sont des terrains d’entraînement adorés des coureurs parisiens. On y cherche le calme, l’ombre et l’air pur. Sauf que voilà : ces deux poumons pourraient bien contenir un air… impur.
Cloche en main, drapeau sur l’épaule, pancarte dans l’autre. Hier soir, au stade Charléty, on ne distribuait pas que des goodies : on distribuait de l’espoir. L’espoir de voir Faith Kipyegon devenir la première femme à courir un mile en moins de 4 minutes.
Un public prêt à tout donner pour soutenir une athlète qui, elle, allait tout tenter. Entourée de ses lièvres, concentrée comme jamais, Faith s’élance. Top chrono !
Chaque été, la même recommandation revient en boucle : « Évitez toute activité physique lorsque les températures grimpent ». Mais doit-on pour autant renoncer à courir dès que le thermomètre dépasse les 28°C ? Pas nécessairement. Si la chaleur représente un véritable défi pour l’organisme, elle n’est pas incompatible avec la pratique du running… à condition de respecter quelques principes essentiels.
Grandir sans trahir. C’est peut-être le défi le plus ingrat des organisateurs des courses de Trail. Et c’est exactement celui que tente de relever le Marathon du Mont-Blanc. À l’heure où la plupart des événements courent après les sponsors, les formats et les chiffres, le Marathon du Mont Blanc fait un pas de côté. Par choix. Par valeurs. Et parfois même, à contre-courant.
Longtemps cantonné à ses sommets et à ses sentiers, le trail se pratique aujourd’hui aussi... sur écran. Instagram, YouTube, Strava : pour les jeunes athlètes, impossible de faire l’impasse. Mais faut-il vraiment « poster » pour percer ? Le talent suffit-il encore ? Plongée dans une discipline qui court de plus en plus vite, mais où l’image n’a jamais autant compté.
Des sentiers de montagne aux podiums internationaux, le trail running n’est plus une simple histoire de randonneurs pressés. En l’espace de vingt ans, la discipline a connu une véritable métamorphose, passant de l’artisanat à l’industrie de pointe, sans (trop) perdre son âme.
En immersion avec la team New Balance à Chamonix, on retrace ce virage spectaculaire, avec : Jean-Michel Faure-Vincent, team manager New Balance Trail, Théo Détienne et Maëlle Beauvir, jeunes athlètes prometteurs.
Longtemps cantonné à ses sommets et à ses sentiers, le trail se pratique aujourd’hui aussi... sur écran. Instagram, YouTube, Strava : pour les jeunes athlètes, impossible de faire l’impasse. Mais faut-il vraiment « poster » pour percer ? Le talent suffit-il encore ? Plongée dans une discipline qui court de plus en plus vite, mais où l’image n’a jamais autant compté.
Des sentiers de montagne aux podiums internationaux, le trail running n’est plus une simple histoire de randonneurs pressés. En l’espace de vingt ans, la discipline a connu une véritable métamorphose, passant de l’artisanat à l’industrie de pointe, sans (trop) perdre son âme.
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Dans le monde du running, l’hydratation est un sujet qui déchaîne les passions. Entre conseils de grand-mère, recommandations d’entraîneurs et théories plus ou moins farfelues relayées sur les réseaux sociaux, difficile de s’y retrouver. Pourtant, bien s’hydrater est crucial pour la performance… à condition de le faire intelligemment.
Dans cet épisode, nous démêlons le vrai du faux ! Préparez votre gourde (mais pas trop pleine non plus), c’est parti !
Dans quelques jours, une nouvelle page de l’histoire de l’athlétisme pourrait bien s’écrire. Le 25 juin, à l’initiative de Nike, la double championne olympique Faith Kipyegon tentera de franchir une barrière jusqu’ici infranchie chez les femmes : courir un mile en moins de 4 minutes. Un défi aux allures de mission impossible… mais porté par une athlète d’exception dans un dispositif pensé pour l’exploit.
Et bonne nouvelle : nous serons sur place pour vous raconter cette tentative historique !
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Courir pour le plaisir, transpirer en plein air, s’inscrire à un trail de montagne ou à une course du dimanche… Cela vous semble normal ? En 2050, ce pourrait bien être un luxe, ou un souvenir.
Car si rien n’est fait pour enrayer le réchauffement climatique et limiter notre impact environnemental, le sport, comme le reste de nos vies, va devoir s’adapter. Ou se réduire. Voici à quoi pourrait ressembler notre quotidien sportif… dans un futur qui n’a rien de fictif.